ANESTHESIE EN UROLOGIE


I - Introduction :


Chirurgie qui s'adresse à tous les âges, à tous les types de terrains. Personnes âgées +++.
Souvent plus complexe chez l'homme et nécessitant une anesthésie plus appuyée.
Classe ALTEMEIER II : chirurgie propre contaminée.

II - Modifications liées à l'âge :


II.1) Cardio-vasculaires (50 à 60 % des patients) :


II.2) Pulmonaires :


II.3) SNC :


II.4) Rénales :


II.5) Hépatiques :


II.6) Endocriniennes :


II.7) Pharmacocinétique et pharmacodynamie chez le sujet âgé :


ATTENTION : Chez le sujet âgé , incidence des pathologies associées +++.


L'anesthésie en urologie est une anesthésie de terrain


IMPORTANCE DE LA CONSULTATION PRE ANESTHESIQUE !

Cas particuliers : Urologie chez les patients neurologiques : Par lésions médullaires lithiase et infection
Au stade spastique, rétention d'urine et globe vésicaux
=> Risque d'hyper réactivité sympathique et HTA maligne en l'absence d'anesthésie
=> Toute stimulation sympathique va entraîner une hyper réflexivité végétative et un choc spinal
au dessus de la lésion : HTA, Chaleur, Flash cutané, Sueurs

au dessous de la lésion : vasoconstriction avec pâleur et horripilation
=> Risque : Hémorragie méningée

Traitement préventif : AG profonde sans Halotane ® (arythmies)
ALR si niveau sensitif D10 suffisant

Drainage vésicaux : spasmes vésicaux déclenchants

Traitement curatif : approfondir l'anesthésie et TTT hypotenseurs

Niveau de sensibilité :

Problèmes infectieux en urologie :

III - Anesthésie pour interventions endoscopiques :


III.1) Chirurgie endoscopique du bas appareil :


=> il faut rester à l'écoute du patient

=> Avantages de l'ALR car il y a :

III.1.A) Urétro-cystoscopie :

a) interventions mineures :

b) cystoscopie avec KT urétéral rétrograde (UPR) :

=> permet d'opacifier l'uretère et les calices rénaux avec produits de contraste, de monter des sondes urétérales, de drainer des obstacles et de retirer des calculs

Les manipulation de l'uretère nécessitent un bloc sensitif atteignant D6.

=> technique radio-chirurgicale +/- longue et douloureuse. AG ou ALR.

III.1.B) Résection endoscopique de prostate :

le patient peut assister à son intervention s'il le désire (vidéo)

III.2) Complications :


III.2.A) Le TURP Syndrome :

=> intérêt de l'ALR pour la surveillance du patient : garder le contact

III.2.B) Perforation vésicale :

III.2.C) L'Hémorragie :

III.2.D) L'Hypothermie :

III.2.E) Infection :

III.3) Résection endoscopique de vessie :


III.4) Endoscopie du haut appareil urinaire :


III.4.A) NLTC (NéphroLithoTomie perCutanée) :

IV - Chirurgie à ciel ouvert :


IV.1) Chirurgie vésico-prostatique :


IV.1.A) Problèmes hémorragiques :

IV.1.B) Retentissement respiratoire du Trendelenbourg :

IV.1.C) Adénomectomie prostatique :

IV.1.D) Prostatectomie radicale :

IV.1.D) Cystectomie :

IV.2) Chirurgie du rein :


IV.2.A) Voies d'abord :

IV.2.B) Retentissements physiologiques de la lombotomie :

IV.2.C) Risque hémorragique :

IV.2.D) Retentissement rénal :

IV.2.E) Stratégie anesthésique :

V - Drainages urinaires :


VI - Chirurgie testiculaire :

VI.1) Position :


VI.2 Stratégie anesthésique :


AINS

VII - La Lithotritie extra-corporelle (LEC):


VII.1) Stratégie anesthésique :


VII.2) Complications :


Nouveautés :