L’IRC correspond à la æ progressive et irréversible des fn excrétrices et endocriniennes du rein en rapport avec la destruction d’1 certain nb de néphrons qqs le processus lésionnel.
Ø
Métabolisme azoté non
protidique
Elimination se fait au prorata de ä tx sg production quot variable, ä avec l’apport de protides, catabolisme.
Prod quot stable,ä créatinémie = bon reflet de la réduction de la filtration glomérulaire.
Débit Nl J 1 Débit de Filtration Glomérulaire (DFG) < 20ml/min grâce à une sécrétion tubulaire.
Ø
Sel
Equilibre sodé est maintenu par les néphrons intacts et réabsorption tubulaire. Adaptation réduite, surcharge hydrosodé si apport excessif ou déplétion hydrosodé si apport insuffisant.
Ø
Potassium
Adaptation de la sécrétion tubulaire permet 1 kaliémie Nl J stade avancé (>10 ml/min). ! hyperK si erreur diet (apport K), Mdt (diurétique, IEC...), acidose, épisode de catabolisme aigu. Surv faite par ECG.
Ø
Eau
Trouble de la concentration avec polyuries stt nocturne. Surcharge hydrique au stade terminal.
Ø
Equilibre acide base
Maintenu J DFG > 25ml/min puis acidose métabolique en rapport avec acides inorganique.
Ø
Troubles endocriniens
- Maladie glomérulaire.
- Pyelonéphrite chroq.
- Néphropathie vasc.
- Polykystose
- Néphropathie DB
- Autres néphropathie
NB : vieillissement de la pop arrivant en IRCT, la fréquence des néphropathie vasc et liée au DB.
Ø
Généraux et digestifs :
Asthénie, anorexie, N/Vt, hémorragie dig en rapport avec œsophagite, gastrite, infection chroq par hep B
Ø
Cardio vasculaires
Ø
Ostéo articulaire
L’ostéodysthrophie rénale (ODR) résulte des perturbations du métabolisme phosphocalcique induit par l’IRC.
Signes de l’ODR :
- Clinique : Dl osseuse, fractures
- bio : hypoCa, hyperphosphorémie, ä phosphatase alcaline, æ parathormone
- Rx : érosion périarticulaire interphlangien distale
- Calcification «métastatique » : qd phosphocalcique imp => dépôt cristaux ds tissus mous = périarticulaire (chondrocalcinose), la peau(prurit) et Vx
- Ostéoarthropathie aps nb années de dialyse
Ø
Neurologiques
- Au stade avancé de IRC polynévrite uricémique dépisté par électromyographie clinique : MI crampes nocturnes, paresthésie, sensation de jambe sans repos
- Au stade terminal de IRC TTT suppléance associé à somnolence, trb attention, ne pas asso surdosage psychotropes et AVC
Ø
Hématologiques
- Par déficit en EPO mais svt aggravé par une carence en fer et/ou hémorragique.
-
ä
Du temps de saignement.
-
æ
De l’immunité C et non spécifique => ä
risque infectieux (B et V).
Ø Endocriniens
- fav genèse lésion athéromateuse
- hypercholestérolémie et triglycéridémie
- moins corrigé par dialyse et transplantation, impuissance chez l’homme par insuff périph, anomalie d cycle menstruel, stérilité, æ libido chez femme.
Ø
Apports protidiques
Nb suffisant de calories, AA essentiels régime normoprotidique jusqu’à hémodialyse.
Ø
Apports en eau et sodium
Calculé sur les sorties : diurèse et natriurèse
Ø
Apports en potassium
Proscrit les alim riches en K, les diurétique, épargnant K et sels de régimes
Ø
Apports en bicarbonates
Si poss Vichy 1l = 4g de bicar pour contrôler l’acidose.
Ø
Anémie
Prélèvement sg mini, apport de fer, foldine si défit, EPO
Ø
Hypocalcémie
hyperphosphorémie
Vit D, carbonate de Ca
Ø
HTA
Contrôle de l’HTA même si flux rénal æ, B bloquant, hypotenseur centraux, vasodilatateur, le furosémide
L’IRC ä la concentration plasmatique des mdts éliminé par le rein. Cette accumulation => une toxicité du rein et autre org stt nerf auditif les plus dangereux :
Ø
ATB
Fungizone, céphalosporine, aminoside, tetracycline, vanco, éthanbutol, rimifon, doses en fn de la clairance de la créatinine
Ø
ATT
Sulfamides, furadoïne, bacitracine
Ø
Tonicardiaque
Ceux à demi vie courte digoxine, acylanide, cédilanide
Ø
AINS
ä insuff rénale et hémorragie digestive
Ø
Sédatif
Tranquillisants neuroleptiques, pt => des trb neuro (sd extrapyramidal), psy, voire état comateux Dg difficile si besoin dose adapté.
Dialyse en attente de transplantation.
Cours de Samir et les autres !